Le 18 avril 2025 à 16h, Kinshasa vivra un moment rare, un souffle artistique en plein air, là où les mots embrassent les mélodies. Sur la scène de l’Académie des Beaux-Arts, le poète Youssef Branh et le groupe YOTSI uniront leurs univers pour un concert exceptionnel. L’entrée est libre.
-Youssef Branh — Le verbe qui percute, la poésie qui respire–
Huit fois primé à l’international, Youssef Branh est bien plus qu’un slameur. Il est une voix. Une parole debout. Une énergie scénique nourrie d’engagement, de mémoire et d’émotion.
Son dernier recueil, Etcetera, est un manifeste de poésie orale, une œuvre vivante, conçue pour être entendue, ressentie, partagée. Sa tournée Etcetera Tour a déjà marqué les esprits au Kongo-Central et à Brazzaville, où il a envoûté les foules avec son texte-phare Je plane, un poème-fleuve traversé par l’histoire du Congo.
Le 18 avril, après une absence remarquée sur les scènes kinoises, il revient avec toute la force de sa voix, prêt à faire vibrer les cœurs et les consciences.
–YOTSI — des voix qui traversent les frontières–
Linda, Leah, Jephte et Tychick forment YOTSI, un groupe sans frontières, à l’image de leur musique. Leur devise : No Borders. Nés dans le gospel, nourris aux sonorités urbaines et aux rythmes du monde, ils tissent une identité sonore unique, entre tradition et modernité.
C’est sous la houlette d’Eric Malu Malu, au centre Kinarmonik, qu’ils ont appris à composer, écrire, explorer. Leur premier album, Maisha, a séduit des figures comme Ray Lema, Yarol Poupaud ou encore Mario Caldato. Leur récente tournée parisienne a confirmé leur envergure internationale.
Le 18 avril, ils reviennent à Kinshasa avec l’envie de tout embraser.
–Une rencontre, un concert, une célébration–
Ce concert est plus qu’une simple performance : c’est une célébration de la fusion entre la parole et le rythme. Un dialogue vibrant entre deux formes d’expression, deux générations d’artistes portés par la même soif de liberté.
Quand les textes puissants de Youssef Branh croiseront les sons métissés de YOTSI, Kinshasa sera témoin d’un moment suspendu. Une seule consigne : être là.
