L’affaire du trafic de minerais au Sud-Kivu suscite une vive polémique. Des citoyens chinois ont récemment été condamnés pour exploitation illégale.
La société civile accuse des proches du président Félix Tshisekedi d’être impliqués. Ces allégations ont enflammé les réseaux sociaux.
Le gouverneur du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi, a réagi. Le 16 janvier 2024, il a démenti formellement ces accusations.
Cette déclaration a eu lieu en marge de la journée en hommage à Laurent-Désiré Kabila. Selon lui, ces accusations sont infondées.
Il a rappelé les efforts du gouvernement pour lutter contre la fraude minière. Il a souligné l’engagement en faveur de la transparence.
Pour le gouverneur, l’implication de l’autorité suprême est « incompréhensible et inadmissible ». Il rejette toute association entre la présidence et ce scandale.
La controverse reste vive. La société civile maintient ses accusations et demande des enquêtes approfondies.
